La règlementation

 

La crèche

Le tarif d’admission d’un enfant au sein d’une crèche, a depuis un certain temps, fait l’objet d’une règlementation. De cela, il ressort que seule une portion du coût initial de l’inscription doit être assumée par les parents, et ce en considération du quotient familial. Entendons par quotient familial le revenu mensuel d’un parent en proportionnalité avec le nombre d’enfants à sa charge. Et toujours selon cette réglementation, la CAF assume la responsabilité de l’autre portion qu’elle est tenue de verser à l’établissement en question. C’est ce remboursement qui est à la base de la Prestation de Service Unique (PSU) dont jouissent la totalité des crèches subventionnés par la CAF, exception faite des établissements ayant le statut de micros crèches.

La micro-crèche

En ce qui concerne les micros crèches, le choix du montant de l’intégration d’un enfant au sein de l’établissement est laissé au gestionnaire, raison pour laquelle on y observe des tarifs carrément supérieurs à ceux indiqués par la CAF. Par exception, certaines micros crèches bénéficient de l’apport de la CAF comme pour le cas des crèches. Mais a contrario, ici ce support est qualifié de libre choix du mode de garde.

La prise en charge

Les postes de coûts d’une crèche

Il faut comprendre que toute crèche fonctionne comme une PME. Le financement versé par la CAF doit donc être assez suffisant pour couvrir les principaux postes de coûts de la crèche. Pour ce faire, il faut avant tout maîtriser chacun d’eux. On traduit par principaux postes de coûts la structure de la crèche qui se présente comme suit:
– Les salaires du personnel encadrant,
-Les loyers,
-Les consommables qui comprennent les éléments matériels et nutritionnels nécessaires au bien vivre des enfants.

Le crédit d’impôt

Le crédit d’impôt est aussi une aide financière attribuée aux parents, toujours dans le cadre de la garde de leurs enfants de moins de six ans, dans une enceinte autre que leur domicile.

Le contenu de la prise en charge de la crèche

La prise en charge de la crèche repose sur des obligations qui doivent être assumées par les principaux acteurs de l’éducation et de la protection de la petite enfance. Pour cela, trois cas de figures se présentent. Dans le cas d’une crèche privée classique ou municipale, l’obligation incombe à trois acteurs à savoir les parents dans un premier temps, ensuite à la caisse d’allocation familiale, et enfin à l’employeur ou à la mairie. Enfin, relativement à la crèche privée, c’est l’employeur qui a la charge de l’obligation. Ces contributions constituent la base même des fonds et revenus nécessaires au fonctionnement de la crèche.

Enfin, retenons que la crèche est un endroit à promouvoir en matière de garde des enfants, et ce en raison de son coût accessible et des services de qualité qu’elle offre. De plus, elle permet aux enfants de mieux s’épanouir et de tisser des liens d’amitié dès le bas âge, ce qui développe en eux le sens du partage et l’esprit de « vivre en communauté ».

 

 Le cas de votre micro-crèche baby’s house à Strasbourg :

Toutes les familles, fiscalement domiciliés en France, bénéficient d’une aide de la CAF, appelée le complément de libre choix du mode de garde. Ce dernier est calculé suivant vos revenus. 

De plus la crèche vous permet de bénéficier d’une réduction d’impôts : 50% des sommes versées, dans la limite de 2 300 €, soit 1 150 € par an, ou encore 95 € par mois. Il vous appartient de vérifier vos droits en matière d’impôts.